Légende écossaises
La ville de Scotstown a par son histoire une caractéristique qui lui ait propre, soit l’héritage écossais de ces premiers pionniers venus des îles Lewis et Harris situées dans les Îles Hébrides au nord de l’Écosse.
Pour traduire concrètement cet héritage et cette couleur locale, le Cœur villageois de Scotstown a misé sur le mysticisme et la culture écossaise, plus particulièrement sur des légendes écossaises qui sont en lien avec la culture et la géographie de la ville et de leurs Iles d’origine.
Ainsi, lorsque les Écossais décidèrent de quitter leurs îles dans le nord de l’Écosse, ils étaient loin de se douter qu’une partie du Petit Monde avait décidé de les accompagner dans leur migration dans leur nouveau pays, soit dans la région des Eastern Townships (Cantons-de- l’Est) du Bas-Canada, plus tard appelé Québec. Parmi ceux-ci se trouvaient des fées (fairies), lutins, brownies, pixies, sprites, trolls, gnomes, nains (dwarfs), elfes et autres créatures magiques qui s’établirent dans les boisés, les champs, les arbres et les jardins.
Au fil des années, ils furent à l’origine de nombreuses légendes d’origine écossaise dans la région de Scotstown dont le lieu central se trouve dans le Parc Walter-MacKenzie le long de la Rivière au Saumon, qui seront présentées à une date ultérieure. Parmi les légendes, on parle de créatures fantastiques telles le Kelpie, la Ceasg, la Loreag, le Wulver, le Ghillie Dhu et bien d’autres.
